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Est-il encore intéressant de mettre des panneaux photovoltaïques en 2025 ?

Face à la hausse des tarifs de l’électricité (+35 % entre 2021 et 2024) et aux enjeux environnementaux, de plus en plus de foyers en Charente-Maritime, Vendée et Deux-Sèvres choisissent de mettre des panneaux photovoltaïques. Ces régions, profitant de 2 000 à 2 200 heures d’ensoleillement par an, offrent des conditions idéales pour la production solaire.

Au-delà de l’aspect écologique, mettre des panneaux photovoltaïques est un investissement rentable. Grâce aux aides financières, à la baisse des coûts d’installation et à la hausse du prix de l’électricité, cette solution séduit les propriétaires désireux de réduire leur facture énergétique tout en valorisant leur bien immobilier.

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En résumé

TEMPS DE LECTURE : 4MIN

Mettre des panneaux photovoltaïques, c’est bien plus qu’un simple geste écologique : c’est une solution concrète pour réduire sa facture d’électricité et gagner en autonomie énergétique.
Dans cet article, onvous explique pourquoi et comment passer au solaire aujourd’hui, les étapes clés d’un projet photovoltaïque réussi et les bénéfices durables que vous pouvez en tirer.
Entre économies, valorisation de votre bien et impact environnemental positif, découvrez toutes les raisons de mettre des panneaux photovoltaïques chez vous en Charente-Maritime, Vendée ou Deux-Sèvres.

Pourquoi mettre des panneaux photovoltaïques dans l’Ouest est un choix adapté à notre climat local

Un ensoleillement idéal pour mettre des panneaux photovoltaïques en Charente-Maritime, Vendée et Deux-Sèvres

La Charente-Maritime, la Vendée et les Deux-Sèvres bénéficient d’un ensoleillement supérieur à la moyenne nationale, ce qui en fait des zones particulièrement propices pour mettre des panneaux photovoltaïques. Selon les données de Météo-France, La Rochelle et Niort enregistrent respectivement entre 2 200 et 2 250 heures de soleil par an, tandis que les zones côtières vendéennes comme Les Sables-d’Olonne ou Saint-Gilles-Croix-de-Vie atteignent régulièrement les 2 300 heures. En comparaison, la moyenne française s’établit autour de 1 900 à 2 000 heures.

Cet ensoleillement élevé permet d’envisager une production annuelle de 1 100 à 1 250 kWh par kWc installé. Ainsi, mettre des panneaux photovoltaïques dans ces départements permet, pour une installation de 3 kWc, de produire environ 3 600 à 3 750 kWh/an — soit près de 70 % des besoins d’un foyer de quatre personnes consommant 5 500 kWh/an. Contrairement aux idées reçues, la rentabilité ne dépend pas uniquement des régions du sud-est : le Grand Ouest, avec son ciel dégagé et ses amplitudes thermiques modérées, offre une très bonne efficacité énergétique sur toute l’année.

Les périodes de l’année où les panneaux photovoltaïques produisent le plus

La production solaire atteint ses pics entre avril et septembre, avec un rendement mensuel qui peut dépasser 500 kWh pour une installation de 3 kWc bien orientée. Cependant, même les mois d’hiver, bien qu’ils soient moins rentables (100 à 200 kWh/mois), restent productifs grâce à la bonne diffusion de la lumière. Les journées claires et froides de février, par exemple, assurent un rendement supérieur à celui d’une journée d’été trop chaude, les panneaux solaires ayant un rendement optimal autour de 25 °C. La diversité des saisons dans ces départements permet donc une production relativement stable sur l’année. Cela rend le dimensionnement d’une installation plus simple et réduit le besoin en batterie dans les foyers utilisant l’électricité principalement en journée. Ces conditions climatiques contribuent fortement à la bonne réputation du photovoltaïque sur ce secteur.

Une région où mettre des panneaux photovoltaïques séduit de plus en plus de foyers

Une forte progression des installations solaires dans la région Atlantique

Depuis 2017, les installations solaires ont bondi dans les trois départements. D’après les chiffres d’ENEDIS, plus de 13 000 foyers en Nouvelle-Aquitaine ont été raccordés au réseau en 2023, avec une croissance annuelle de +22 %. En Vendée, le parc photovoltaïque résidentiel a doublé entre 2019 et 2024. Ces chiffres témoignent d’un changement de mentalité : de plus en plus de particuliers choisissent de mettre des panneaux photovoltaïques pour réduire leurs dépenses énergétiques et participer activement à la transition écologique.

Les collectivités locales suivent la même dynamique. Attirées par la baisse des coûts d’installation (divisés par trois en dix ans), les aides locales et la volonté d’agir pour la transition énergétique, elles multiplient les projets solaires sur le territoire. Cette mobilisation est notamment soutenue par le Syndicat d’Énergie des Deux-Sèvres (SIEDS) et celui de la Vendée (SyDEV), qui accompagnent les communes rurales dans l’équipement des bâtiments publics et encouragent les initiatives citoyennes à travers des coopératives locales comme CIRENA ou Énergie Partagée. Cette évolution confirme que la décision de mettre des panneaux photovoltaïques n’est plus seulement un choix individuel, mais un véritable mouvement collectif et structuré à l’échelle locale.

Des projets réussis de mise en place de panneaux photovoltaïques près de chez vous

Plusieurs projets emblématiques jalonnent le territoire. À Sainte-Gemme-la-Plaine (Vendée), un collectif de citoyens a installé une centrale de 36 kWc sur la toiture d’une salle polyvalente, financée en partie par des habitants. À Saintes, une entreprise artisanale a couvert ses ateliers avec 80 m² de panneaux, couvrant 70 % de ses besoins énergétiques annuels. Et à Niort, une école élémentaire est désormais partiellement autonome en énergie grâce à une installation de 12 kWc financée avec le soutien du conseil régional Nouvelle-Aquitaine. Ces exemples démontrent non seulement la faisabilité technique, mais aussi la viabilité économique du solaire dans les trois départements. Chaque projet devient une vitrine locale, suscitant de nouvelles vocations et accélérant l’acceptation sociale du photovoltaïque.

 

Face à la hausse des prix, mettre des panneaux photovoltaïques devient une évidence

Un coût du kWh qui renforce l’intérêt de passer au photovoltaïque

Le tarif réglementé de vente de l’électricité (TRV) pour les particuliers a connu une hausse cumulée de plus de 35 % entre 2021 et 2024, selon la CRE (Commission de Régulation de l’Énergie). En avril 2025, le kWh en option base est facturé 0,254 € TTC (hors abonnement). Cette flambée des prix s’explique par plusieurs facteurs : tensions géopolitiques, inflation des matières premières, coûts de maintenance du parc nucléaire et taxation accrue du carbone.

Dans ce contexte, mettre des panneaux photovoltaïques apparaît comme un levier concret pour se protéger durablement de la hausse des tarifs. L’autoconsommation devient un véritable outil de stabilité budgétaire : produire son électricité solaire revient à moins de 0,10 €/kWh sur 25 ans (investissement amorti). Ce différentiel de plus de 60 % entre le coût de production solaire et le prix du réseau justifie pleinement l’intérêt de mettre des panneaux photovoltaïques dès aujourd’hui.

Mettre des panneaux photovoltaïques : une réponse concrète au besoin d’autonomie énergétique

La crise énergétique de 2022-2023 a mis en lumière la vulnérabilité du système énergétique français. Les épisodes de tension sur le réseau, les risques de délestage hivernal et la hausse constante des prix ont accéléré la demande d’indépendance énergétique chez les ménages. En Charente-Maritime et en Vendée, où les réseaux sont parfois anciens et sujets à coupures (zones périurbaines ou îles), disposer d’une source d’énergie autonome est devenu un argument fort, notamment pour les familles avec enfants ou les personnes âgées.

Le développement des systèmes hybrides (solaire + batterie) ou des micro-invertisseurs permet désormais de sécuriser une partie de la consommation, même en cas de panne de réseau. C’est un point stratégique pour les résidences isolées, les artisans, ou les professions libérales travaillant à domicile.

Combien faut-il prévoir pour mettre des panneaux photovoltaïques dans notre région ?

Les tarifs moyens constatés pour une installation photovoltaïque locale

En 2025, les prix des installations photovoltaïques dans les départements de la Charente-Maritime, Vendée et Deux-Sèvres varient selon plusieurs critères : puissance, complexité de la pose, matériel choisi, et entreprise sollicitée. D’après les devis constatés sur le terrain, le prix moyen pour une installation résidentielle clé en main est :

– 3kWc : entre 7 200€ et 8 200€ TTC

– 6 kWc : entre 12 500€ et 14 500€ TTC

– 9kWc : entre 17 500€ et 19 500€ TTC

Ces tarifs incluent les panneaux, onduleurs (ou micro-onduleurs), fixations, pose, mise en service, déclaration CONSUEL, et parfois le monitoring de production. Les prix ont baissé de plus de 15 % depuis 2020 grâce à la concurrence locale, mais aussi à la standardisation des équipements.

Pour une offre sérieuse, il est essentiel de passer par un installateur certifié RGE (Reconnu Garant de l’Environnement). Cela garantit à la fois la qualité de pose, la couverture d’assurance décennale, et l’accès aux aides de l’État.

Raccordement et entretien : les frais à anticiper après la pose de vos panneaux

Outre le coût principal, plusieurs frais annexes sont à prévoir lorsqu’on souhaite mettre des panneaux photovoltaïques. Le raccordement au réseau électrique, indispensable pour l’autoconsommation ou la revente, coûte généralement entre 400 € et 600 € TTC selon les contraintes techniques du site.

Le coût de l’étude technique préalable (visite, dimensionnement, simulation) est souvent inclus dans le devis, mais peut être facturé entre 100 € et 250 € si le projet n’est pas retenu.

Côté entretien, mettre des panneaux photovoltaïques implique peu de contraintes : un nettoyage annuel suffit, pour un budget moyen de 80 à 150 €. Enfin, le remplacement de l’onduleur, à prévoir tous les 10 à 25 ans, représente un coût de 800 à 1 500 € à inclure dans la rentabilité globale.

Les aides et subventions 2025 pour mettre des panneaux photovoltaïques chez soi

Les dispositifs locaux pour financer vos panneaux solaires

De nombreuses communes et départements, comme la Charente-Maritime ou la Vendée, proposent des primes à l’installation solaire. Elles varient généralement de 300 à 800 €, selon la puissance installée et les critères de revenus. Il est recommandé de se renseigner auprès de sa mairie ou de son Espace Conseil France Rénov’ avant le lancement des travaux.

Les aides régionales pour soutenir vos projets photovoltaïques

La Région Nouvelle-Aquitaine soutient également les projets d’énergie renouvelable via différents appels à projets. Ces programmes financent souvent les études techniques ou une partie du matériel pour encourager la production locale d’électricité solaire.

Le bonus d’autoconsommation : un vrai coup de pouce pour mettre des panneaux photovoltaïques

Enfin, les particuliers qui choisissent de mettre des panneaux photovoltaïques pour l’autoconsommation peuvent bénéficier du bonus national versé par EDF OA. Son montant dépend de la puissance de l’installation et peut atteindre 500 € pour 3 kWc. Pour en savoir plus vous pouvez demandez votre étude solaire personnalisée.

Mettre des panneaux photovoltaïques dans l’Ouest : contraintes et précautions à connaître

Panneaux photovoltaïques et zones protégées : ce qu’il faut savoir avant d’installer

Mettre des panneaux photovoltaïques dans une zone classée ou protégée (secteur ABF) nécessite une autorisation préalable. Le projet doit être validé par l’Architecte des Bâtiments de France, qui veille à préserver le patrimoine architectural et paysager.

Les contraintes concernent surtout l’esthétique : orientation des panneaux, intégration visuelle dans la toiture, choix des matériaux ou couleurs. Ces exigences peuvent rallonger les délais ou augmenter légèrement le coût du projet.

Pour mettre des panneaux photovoltaïques dans ces zones, il est conseillé de faire appel à un installateur habitué aux démarches administratives. Celui-ci saura concevoir un dossier conforme et proposer des solutions esthétiques validées, comme les panneaux noirs ou les tuiles solaires. Cette préparation en amont facilite grandement l’obtention de l’accord et garantit un résultat harmonieux.

Comment protéger ses panneaux photovoltaïques du vent, du sel et de la corrosion

L’environnement côtier, bien que favorable à la production solaire grâce à une forte luminosité, présente aussi des risques techniques spécifiques. Le sel marin, transporté par les vents, peut corroder les fixations métalliques des panneaux et affecter l’électronique des onduleurs. Pour éviter toute dégradation prématurée, il est impératif de choisir du matériel certifié « résistance en milieu salin » (ISO 9227) et de privilégier les structures en inox 316L ou en aluminium anodisé. De plus, l’onduleur doit être installé dans un local sec et ventilé (garage ou local technique), avec un indice de protection minimum IP65. Un entretien régulier (nettoyage à l’eau douce une fois par an) permet également d’éviter l’accumulation de dépôts salins qui réduiraient la performance des modules.

FAQ – Les 5 questions les plus posées avant de mettre des panneaux photovoltaïques

Vous avez encore des doutes ou des questions concrètes avant de mettre vos panneaux solaires ? Voici les réponses aux interrogations les plus fréquentes que nous recevons, pour vous aider à y voir clair avant de lancer votre projet solaire.

Oui, tout à fait. Une orientation sud reste optimale, mais des toitures orientées est-ouest conservent un excellent potentiel de production, surtout avec un bon ensoleillement comme dans l’Ouest Atlantique. On estime généralement une perte de rendement de 10 à 15 % par rapport à une orientation plein sud. Par exemple, une installation de 3 kWc orientée est-ouest à Niort peut produire entre 3 200 et 3 500 kWh par an, ce qui reste largement suffisant pour rentabiliser l’installation en moins de 12 ans, en tenant compte des aides. De plus, cela permet de lisser la production sur la journée : le matin pour la face est, l’après-midi pour la face ouest, ce qui est idéal pour l’autoconsommation.

Pas forcément, mais il faut respecter certaines démarches. Pour une maison individuelle en zone non classée, une simple déclaration préalable de travaux en mairie suffit. En revanche, si vous habitez dans une zone protégée ou à proximité d’un monument historique (nombreux cas dans le Marais poitevin, l’île de Ré ou Saintes), vous devez obtenir l’accord de l’Architecte des Bâtiments de France. Le traitement peut prendre entre 1 et 3 mois. En cas de refus, vous pouvez proposer une installation plus discrète (panneaux noirs intégrés, orientation en façade arrière, etc.).

Oui, mais avec des précautions spécifiques. La majorité des toitures du bocage vendéen ou de la Saintonge sont en tuiles mécaniques ou canal. Les fabricants de fixations photovoltaïques proposent aujourd’hui des systèmes compatibles avec ces matériaux, sans perçage direct des tuiles (crochets sous tuile). En revanche, pour les toitures très anciennes ou fragilisées, il est vivement recommandé de faire vérifier la charpente et la couverture par un professionnel. Dans certains cas, une rénovation partielle du toit est à prévoir avant installation.

Oui, à condition de choisir du matériel adapté et une pose professionnelle. Les panneaux doivent être certifiés IEC 61215 (résistance aux chocs et au vent) et les fixations doivent répondre aux normes NV65 pour les zones ventées. Dans les communes du littoral vendéen ou charentais, les installateurs utilisent des ancrages renforcés et adaptent les espacements pour limiter la prise au vent. De nombreux panneaux résistent à des vents jusqu’à 200 km/h. En cas d’intempérie extrême, les dommages éventuels peuvent être couverts par l’assurance habitation, à condition d’avoir déclaré l’installation.

Dans le cas d’une maison secondaire, la production solaire est souvent élevée (été) mais la consommation est irrégulière. Une batterie peut donc stocker l’électricité non utilisée sur le moment, pour la consommer le soir ou les jours suivants. Cela permet d’éviter de réinjecter gratuitement l’électricité sur le réseau (si l’on n’a pas signé de contrat de revente). Par exemple, une batterie de 5 kWh associée à une installation de 3,5 kWc à Royan peut couvrir jusqu’à 80 % des besoins durant une semaine de séjour en été.

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